5 raisons pour lesquelles l’impression 3D peut accroître les risques
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Une pièce d’équipement est projetée hors d’une chaîne de production, causant des dommages et des temps d’arrêt affectant les opérations. L’équipement ayant été à l’origine importée d’Europe, il y a longtemps, la pièce est désormais désuète et son remplacement est pratiquement impossible en raison de l’évolution de la technologie. Une solution évidente et dorénavant plus courante consiste à imprimer l’objet en 3D, réduisant les temps d’arrêt, les pertes de revenus et les frais supplémentaires.
Cependant, comme pour toutes les technologies émergentes, l’impression 3D présente de nouveaux défis à l’industrie de l’assurance.
Voici 5 raisons pour lesquelles l’impression 3D peut accroître les risque :
1. Certains procédés d’impression 3D sont dangereux
2. Les pièces imprimées en 3D peuvent subir un bris
3. Les imprimantes 3D peuvent subir un bris et causer des dommages électriques considérables
Les imprimantes 3D sont elles-mêmes des « objets assurés » et sont sujettes à des risques de bris d’équipement.
Un sinistre récent impliquait une tête d’impression désuète, laquelle était à l’origine d’une surtension, endommageant 62 prises électriques de l’assuré. Cela a provoqué des dommages, un temps d’arrêt considérable et une perte du projet 3D en entier.
4. La responsabilité est transférée si un accident survient
5. Les méthodes d’essais et d’inspection traditionnelles peuvent ne pas s’appliquer aux pièces imprimées en 3D
HSB reconnaît l’importance de l’impression 3D industrielle et participe activement au nouveau comité spécial de l’ASME sur l’utilisation de la fabrication additive pour les équipements sous pression, qui a pour mission de développer des directives techniques concernant les matériaux, la conception, la fabrication, les examens, les inspections et les essais.